Design d’un portefeuille de placement :, ça prend un expert!

Choisir ses placements, c’est plus complexe que remplir un petit questionnaire concernant la tolérance au risque.
Il y a plusieurs facteurs à considérer lorsque nous accompagnons un client dans ses choix de placements, dont plusieurs qui dépassent ce genre de sondage.

C’est pour cette raison qu’une première rencontre dure environ une trentaine de minutes avec mes nouveaux clients, avant même de songer à sortir ce fameux questionnaire. Il faut me permettre d’évaluer l’ensemble de la situation de chaque individu, afin de m’aider à élaborer la meilleure stratégie à court, à moyen et à long terme.

Quel sera notre plan d’attaque ? J’ai des recherches à faire, ou dois-je impliquer certains membres de mon équipe d’experts, et si oui, lesquels, et dans quel ordre ?

Dans mon cas, il est impossible d’arriver avec une seule solution qui fait à tout le monde. Les répercussions de chaque décision sont beaucoup trop importantes.

Par exemple, trop souvent, des gens prennent des placements de type FTQ, pour des raisons qui sont bien publicisées, afin d’avoir un plus gros retour d’impôt. Pourtant, beaucoup d’entre eux ont un niveau d’endettement trop élevé pour ce type de placement, aucun fonds d’urgence, ni d’assurance salaire ! Advenant le manque de seulement 1 mois de travail (maladie, mise à pied, etc..), cela sera catastrophique !
Seule une personne-ressource vous expliquera que ces placements, sont d’abord des actions (100% à risque et volatiles), mais qu’en plus, ils ne pourront retirer aucun fonds avant l’âge de 55 ans, à moins d’être totalement invalide et sans revenu!

C’est un exemple. Mais des erreurs d’orientation financière, je peux vous en donner plusieurs, tout aussi frustrantes, voire dispendieuse !

Alors, qu’est-ce qui influencera votre choix de placement ? Je suis cette personne “fatigante” qui posera toujours une panoplie de questions à mes clients.

Employé ou travailleur autonome ? Incorporé ou enregistré ? Il y a des associés, de la relève à prévoir ou sommes-nous à la période d’une « start-up » ou plutôt bientôt à la phase du décaissement ? Est-ce que votre situation financière changera sous peu ? Quel est votre taux d’imposition ? Est-ce qu’on peut faire autrement ?

Ensuite, il y a la situation familiale à prendre en considération. Célibataire, divorcé, conjoint de fait ou marié, et ce depuis combien de temps ? Est-ce que le conjoint ou la conjointe est activement impliqué(e) dans l’entreprise, et de quelle façon ? Est-ce que le couple travaille financièrement en équipe ou individuellement ? Est-ce une famille reconstituée ? Est-ce qu’il Il y a des engagements à respecter comme des pensions alimentaires ?
Est-ce qu’Il y a vente ou achat d’un actif important prochainement ?

Voilà l’appel de la confiance, car toutes ces informations peuvent changer mon orientation question stratégie de placement, et je travaille toujours dans l’intérêt de mon client, et ce, en toute confidentialité.

Ensuite, on continue…je creuse plus loin…Est-ce que mon client est le pourvoyeur principal de sa famille ou le conjoint(e) est financièrement indépendant, ou encore la situation familiale est-elle tendue ?
Et si mon client(e) tombe malade, a-t-il un plan afin de financer cette période qui peut être considérée comme du court, moyen ou long terme ?
À ce jour, est-ce que toutes les possibilités fiscalement avantageuses ont été prises en considération ?

Encore aujourd’hui, je vois plus que régulièrement, des retraités qui sont fortement imposés sur le petit rendement de leurs revenus de retraite ! Mais c’est pas normal!

Finalement, avec toutes les réponses à ces questions, je suis adéquatement outillée pour monter un portefeuille de placements sur mesure, et je le fais en plus, en version socialement responsable.

Est-ce que je vous ai convaincu que de choisir ses placements est pas mal plus compliqué que de refaire sa cuisine?

Pourquoi même hésiter à consulter une personne compétente avec l’expérience pour vous aidez a bien faire les choses?